*4,2 IV, 2. Chez ceux qui, etc. en lisant avec les meilleurs manuscrits τοῖς ἀκούσασιν. — La Vulg. a lu τοῖς ακουσθεῖσιν : n’étant pas mêlée avec la foi aux choses qu’ils avaient entendues. — Au lieu du singulier συγκεκρασμένος quelques-uns lisent le pluriel : n’étant pas unis par la foi à ceux qui entendirent, c’est-à-dire qui reçurent par la foi les paroles de la promesse, p. ex. Josué et Caleb (comp. Nom. xiii et xiv).
†4,3 3. Nous entrerons, litt. nous entrons, nous avons la certitude d’être admis.
‡4,4 4-5. — Quelque part : les lecteurs savaient où (Gen. ii, 2). — Et ici, dans le passage du Ps. xcv (94) que nous venons de rapporter (verset 3). Paul laisse au lecteur à tirer la conclusion.
§4,7 7. Dans David, soit dans le livre des Psaumes, dont David est le principal auteur, soit plutôt par l’organe de David auteur de ce Psaume.
*4,11 11. Ne tombe, ne périsse ainsi que les Israélites incrédules dans le désert. Voy. iii, 17. Vulgate, ne tombe dans le même exemple, etc.
†4,12 12. La parole de Dieu, non pas le Verbe, dont il n’a pas été question jusqu’ici ; mais d’une manière générale les paroles de promesse et de menace ; en particulier la menace prononcée contre les incrédules dans le Psaume xcv (94). Voy. iii, 11, 18, 19 ; iv, 3. Cette menace s’accomplirait infailliblement ; car la parole de Dieu est vivante, toujours en vigueur ; elle est efficace, c’est-à-dire active ἐνεργῆς (le codex B et S. ἐναργής, manifeste), ayant son accomplissement (Is. lv, 10 sv.).