*10,1 X, 1. Le vœu, Vulg. l’inclination de mon cœur.
†10,5 Lév. xviii, 5 ; Gal. iii, 10 sv. À côté de la justice par les œuvres, Moïse mentionne une justice par la foi. Pour expliquer sa pensée S. Paul se sert de quatre versets du Deutéronome (xxx, 11-14) ; mais au lieu de les amener par la formule ordinaire, il personnifie la justice par la foi et la fait elle-même parler. De plus il se contente d’accommoder à son sujet, en les citant avec assez de liberté, les paroles sacrées. On s’explique ainsi l’omission de toute formule de citation et les changements notables introduits dans le texte.
‡10,8 Que dit-elle, la justice. Vulg. l’Écriture.
§10,11 L’Écriture, Is. xxviii, 16, cité d’après les Septante, Comp. I Pier. ii, 6.
*10,13 S. Paul incorpore dans son discours, sans la formule ordinaire d’introduction, ce passage de Joël (ii, 32. Comp. Act. ii, 21) connu de tous.
†10,15 Is. iii, 7, cité librement.
‡10,16 Vulg. n’obéissent pas. Mais l’Amiatinus porte comme le gr. n’ont pas obéi. — Is. liii, 1. Comp. Jean, xii, 38.
§10,18 Leur voix, citation du Ps. xix (18), 5, d’après les Septante. Au sens littéral, il s’agit de la révélation de Dieu et de ses attributs dans la nature, et spécialement dans les astres ; mais le monde physique étant, sous beaucoup de rapports, l’image du monde invisible et surnaturel, S. Paul voit dans les astres la figure des saints, notamment des Apôtres, que le Sauveur appelle la lumière des hommes (Matth. v, 14). Du reste il faut voir dans cette citation, comme plus haut vers. 6, une accommodation.
*10,19 Deut. xxxii, 21.
†10,20 Is. lxv, 1.