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F. Chap. v, 1-4 : Vision du rouleau volant.*Le nouveau peuple de Dieu doit être affranchi du péché dans ses individus (1-4) et dans le peuple entier (5-11).
Je levai de nouveau les yeux et je vis : Et voici un rouleauUn rouleau : une bande de parchemin étalée dans toute sa longueur et planant dans les airs.qui volait. Il me dit : « Que vois-tu ? » Je dis : « Je vois un rouleau qui vole ; sa longueur est de vingt coudées et sa largeur de dix coudées. » Et il me dit : C’est la malédiction qui sort sur la face de tout le pays ; car, selon ce qui y est écritSelon ce qui y est écrit ; m. à m., selon elle., quiconque dérobe sera balayé d’ici, et, selon ce qui y est écrit, quiconque jure sera balayé d’ici. Je l’ai déchaînée, — oracle de Yahweh des armées, — et elle arrivera à la maison du voleur et à la maison de celui qui jure par mon nom en mentant ; elle se logera au milieu de sa maison et la consumera, le bois et les pierres.
G. Chap. v, 5-11 : Vision de l’épha. — L’épha et son symbolisme (v, 5, 6). La femme dans l’épha, son symbolisme (v, 7, 8). L’épha en terre de Sennaar (v, 9-11).
L’ange qui parlait avec moi parut et me dit : « Lève les yeux et regarde ce qui apparaît. » Je dis : « Qu’est-ce ? » Il dit : « C’est l’épha§Epha, trente-huit litres. — C’est à cela etc. ; m. à m., cela est leur oeil, leur regard, dans tout le pays ; le commerce, les affaires, sont leur seule préoccupation. LXX : Cela est leur iniquité (awônâm au lieu de ῾ênâm) dans tout le pays. Après les fautes des individus, l’iniquité nationale. qui apparaît ». Et il ajouta : « C’est à cela que s’attache leur regard dans tout le pays. »
Et voici qu’un disque de plomb fut soulevé, et il y avait une femme assise au milieu de l’épha. Il dit : « Cette femme*Cette femme personnifie l’improbité. — Il la repoussa : elle doit attendre dans cette prison le châtiment qui va suivre, savoir son expulsion de la terre sainte. est l’improbité. » Et il la repoussa au milieu de l’épha et jeta sur l’ouverture de celui-ci la masse de plomb.
Et je levai les yeux, et je vis. Et voici que deux femmes apparurent ; du vent soufflait dans leurs ailes ; elles avaient des ailes pareilles aux ailes de la cigogne. Et elles enlevèrent l’épha entre le ciel et la terre. 10 Je dis à l’ange qui parlait avec moi : « Où emportent-elles l’épha ? » 11 Il me répondit : « Elles l’emportent pour lui bâtir une maison au pays de SennaarSennaar, ancien nom de la Babylonie (Gen. x, 10 ; xi, 2). — On le (l’épha) placera là en son lieu : symbole d’une captivité permanente dans la terre des Gentils, de l’exclusion définitive de l’assemblée des saints. ; et, quand elle aura été fondée, on le placera là en son lieu.

*^ Le nouveau peuple de Dieu doit être affranchi du péché dans ses individus (1-4) et dans le peuple entier (5-11).

5,1 Un rouleau : une bande de parchemin étalée dans toute sa longueur et planant dans les airs.

5,3 Selon ce qui y est écrit ; m. à m., selon elle.

§5,6 Epha, trente-huit litres. — C’est à cela etc. ; m. à m., cela est leur oeil, leur regard, dans tout le pays ; le commerce, les affaires, sont leur seule préoccupation. LXX : Cela est leur iniquité (awônâm au lieu de ῾ênâm) dans tout le pays. Après les fautes des individus, l’iniquité nationale.

*5,8 Cette femme personnifie l’improbité. — Il la repoussa : elle doit attendre dans cette prison le châtiment qui va suivre, savoir son expulsion de la terre sainte.

5,11 Sennaar, ancien nom de la Babylonie (Gen. x, 10 ; xi, 2). — On le (l’épha) placera là en son lieu : symbole d’une captivité permanente dans la terre des Gentils, de l’exclusion définitive de l’assemblée des saints.